Tout d’abord, avant de lire cet article : Les outils du coach de vie. Bienvenue à nouveau sur Coach Anti Procrastination 🙂 !
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Vous vous demandez sûrement : » Mais quels sont les outils utilisés par les coachs de vie ? «
Dans cet article, j’aborderai un certain nombre d’outils classiques du coaching de vie, équivalent au coaching professionnel en entreprise.
En attendant, essayons de comprendre pourquoi ce service de « coach de vie » a pris de l’importance.
Notre époque moderne, teintée de développement personnel et d’individualisme (l’épanouissement de l’individu est plus important que l’épanouissement du groupe), nous incite à nous réaliser de plus en plus.
Le bonheur serait associé au fait de se réaliser pleinement, dans tous les domaines de sa vie.
Je suis plutôt partisan de cette idée.
C’est une idée et une possibilité plutôt nouvelle car nos ancêtres ne réfléchissait pas tant à ces questions, notamment parce que le nombre de choix professionnels et personnels qui se présentait à eux était moindre. Ce nombre de choix a augmenté avec l’essor de l’industrie, rendant possible la société de consommation.
Nos ancêtres n’avaient du reste, pas autant d’aides sociales qu’aujourd’hui (pour les français) et donc disposaient de moins de temps et de moyens pour se poser toutes ces questions.
Petite aparté : avec la société des loisirs, c’est là encore un nombre de choix important qui s’offre à nous, et comme nous le savons en science, trop de choix, est parfois un facteur de perturbations.
En effet, plusieurs études et documents de recherche qui confirment que l’excès de choix peut avoir un impact négatif sur la prise de décision et la résolution de problèmes. Voici un résumé des principales conclusions :
- « A cognitive information processing approach to employment problem solving and decision making » (Une approche du traitement cognitif de l’information pour la résolution de problèmes d’emploi et la prise de décision), menée par l’Online Library Wiley en 1999, indique qu’une dépendance excessive à une ou plusieurs options peut affecter négativement la résolution de problèmes et la prise de décision dans le contexte de l’emploi [1].
- « The evolution and current status of the functional perspective on communication in decision-making and problem-solving groups » (L’évolution et le statut actuel de la perspective fonctionnelle sur la communication dans les groupes de prise de décision et de résolution de problèmes), publiée par Taylor & Francis en 2010, suggère que trop de choix peuvent compliquer le processus de prise de décision ou de résolution de problèmes [2].
- « Peeling back the onion: Personality, problem solving, and career decision-making style correlates of career indecision » (Éplucher l’oignon : La personnalité, la résolution de problèmes et les corrélats du style de prise de décision de carrière de l’indécision de carrière), publiée par SAGE Journals en 1993, établit un lien entre une variété excessive d’options de carrière et l’indécision de carrière, ce qui peut conduire à une charge cognitive accrue et à une diminution de la capacité de résolution de problèmes [4].
- « How does trust affect patient preferences for participation in decision‐making? » (Comment la confiance affecte-t-elle les préférences des patients pour la participation à la prise de décision?), publiée par Online Library Wiley en 2004, indique qu’un excès de choix peut entraîner une variation dans la résolution de problèmes, ce qui peut compliquer le processus de prise de décision [5].
- « The role of mental simulation in problem solving and decision making » (Le rôle de la simulation mentale dans la résolution de problèmes et la prise de décision), publiée par Taylor & Francis en 2018, suggère que trop de détails ou d’options peuvent entraver le processus de simulation mentale, ce qui peut à son tour affecter la résolution de problèmes et la prise de décision [10].
Sources : [1] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1002/j.2161-0045.1999.tb00271.x [2] https://www.taylorfrancis.com/chapters/edit/10.4324/9780203856161-32/evolution-current-status-functional-perspective-communication-decision-making-problem-solving-groups-dennis-gouran-randy-hirokawa-kelly-julian-geoff-leatham [4] https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/106907279300100107 [5] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/j.1369-7625.2004.00296.x [10] https://www.taylorfrancis.com/chapters/edit/10.1201/9780203748749-11/role-mental-simulation-problem-solving-decision-making-gary-klein-beth-crandall
L’essor du coaching de vie au cours des dernières années peut être attribué à plusieurs facteurs sociologiques. Les changements dans les structures sociales et économiques, l’évolution des attitudes culturelles et les développements technologiques ont tous joué un rôle dans la popularité croissante de cette profession.
Selon une étude publiée par l’Online Library Wiley, la perte de pouvoir et de crédibilité des professions classiques, combinée à une augmentation de l’individualisme et de l’auto-amélioration, a conduit à une demande accrue pour les services de coaching de vie [1].
De plus, les changements économiques, tels que l’augmentation de l’insécurité de l’emploi et la précarité du travail, ont créé un besoin pour les individus de développer leurs compétences personnelles et professionnelles afin de rester compétitifs sur le marché du travail [2].
Une autre raison de l’essor du coaching de vie est la montée en puissance des médias sociaux et de l’Internet. Comme l’indique une étude publiée par Taylor & Francis, l’augmentation du nombre d’influenceurs des médias sociaux a contribué à la popularisation du coaching de vie en tant que carrière et a également augmenté la visibilité et l’accessibilité de ces services [3].
Il convient également de noter que l’essor du coaching de vie peut être lié aux changements culturels et sociétaux plus larges. Par exemple, une étude publiée par Springer a souligné l’augmentation de l’espérance de vie et le vieillissement de la population comme des facteurs contribuant à la demande de coaching de vie, en particulier en ce qui concerne la gestion du changement et la planification de la retraite [4].
En termes d’implications, l’essor du coaching de vie pourrait avoir un impact significatif sur la société. D’une part, il pourrait contribuer à améliorer le bien-être individuel et collectif en aidant les gens à naviguer dans les défis de la vie et à atteindre leurs objectifs personnels et professionnels.
D’autre part, il pourrait également exacerber les inégalités sociales si les services de coaching de vie deviennent un luxe réservé à ceux qui peuvent se les offrir.
L’essor du coaching de vie est un phénomène complexe qui est influencé par une multitude de facteurs sociologiques. Bien que davantage de recherches soient nécessaires pour comprendre pleinement ses causes et ses implications, il est clair que le coaching de vie joue un rôle de plus en plus important dans notre société contemporaine.
Sources : [1] https://onlinelibrary.wiley.com/doi/abs/10.1111/soin.12003 [2] https://books.google.com/books?hl=en&lr=&id=vMMoEAAAQBAJ&oi=fnd&pg=PT15&dq=sociological+reasons+for+the+rise+of+life+coaching&ots=Mah3CpIFum&sig=kKtMSJgrAoDA2yRCg-Z_MSRmsCA [3] https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/19392397.2016.1218292 [4] https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-4899-4509-9_36
Alors, quels sont les outils du coach de vie ?
Mais qu’est ce le coaching de vie au fond ?
Le coaching de vie, également connu sous le nom de life coaching, est un processus d’accompagnement personnalisé qui vise à aider une personne à réaliser ses objectifs et à améliorer sa qualité de vie.
C’est un partenariat entre le coach et le client qui offre un cadre de soutien pour explorer les défis, les opportunités et les aspirations du client.
Le coach agit comme un catalyseur, facilitant la croissance personnelle et professionnelle du client.
Un coach de vie n’est pas un thérapeute ni un consultant. Il ne donne pas de conseils, ne résout pas les problèmes et ne fournit pas de solutions.
Au lieu de cela, il pose des questions puissantes qui aident le client à découvrir ses propres réponses. Le but est d’amener le client à prendre conscience de ses propres capacités et à prendre la responsabilité de sa vie.
De même de par sa formation potentielle dans le domaine de la psychothérapie, il pourra proposer à son client, s’il en a les compétences, d’entrer dans un travail plus thérapeutique, s’il constate que ce travail est nécessaire pour que son client avance davantage.
Le coaching de vie peut être bénéfique dans divers domaines, tels que la carrière, les relations, la santé, le développement personnel, la spiritualité et bien plus encore.
Il peut aider à augmenter la confiance en soi, à améliorer les compétences de communication, à gérer le stress, à équilibrer la vie professionnelle et personnelle, et à réaliser des rêves et des aspirations.
Comme vous pouvez le constater, j’e me suis spécialisé dans j’approfondis la thématique de la procrastination, qui touche beaucoup d’individus à un niveau plus ou moins profond, et qui fait appel en fait à d’autres problématiques psychologiques, comme :
- la peur de l’échec,
- le perfectionnisme ou encore
- le manque d’estime de soi qui, en fait touche un nombre prépondérant d’entre nous.
En somme, le coaching de vie est un processus transformationnel qui vise à libérer le potentiel d’une personne pour qu’elle puisse vivre une vie plus épanouissante et significative. C’est un voyage d’auto-découverte, d’apprentissage et de changement, guidé par le coach de vie.
Je suis pour ma part, en auto-coaching et accompagné, depuis mes 17 ans. C’est un domaine qui me passionne.
Comment aller mieux, comment se dépasser, comment faire ce que l’on veut réellement dans la vie ?
Ce n’est pas un processus si simple car je me suis rendu compte avec les années, qu’il y a parfois de grosses difficultés qui empêchent justement d’avancer.
C’est pour cela que la thérapie à tout son sens. Il est aussi rassurant de constater que réussir n’est pas une chose aussi simple et qu’il se passe souvent des années, voir des dizaines d’années avant qu’une personne soit reconnu dans son domaine et que son œuvre éclate dans tous ses dimensions les plus admirables.
Quelles sont les origines du coaching de vie ?
Le coaching de vie, tel que nous le connaissons aujourd’hui, a ses racines dans diverses disciplines et courants de pensée. Bien qu’il soit difficile d’attribuer la création du coaching de vie à une seule personne, plusieurs figures importantes ont contribué à son développement.
L’une des premières influences du coaching est Socrate, qui enseignait la maïeutique au Vème siècle avant JC. Cette méthode d’enseignement impliquait de poser des questions pour aider les gens à découvrir leurs propres idées et à développer leur compréhension [1].
Cependant, le coaching tel que nous le connaissons aujourd’hui est apparu aux États-Unis au début des années 1960.
Il a été influencé par la cybernétique – l’étude des systèmes de communication et de contrôle – ainsi que par l’école de Palo Alto, un groupe de chercheurs en psychologie et en sciences sociales qui ont développé des théories sur la communication et le changement [2][3].
Parmi les grands noms du coaching, on peut citer Timothy Gallwey, un ancien joueur de tennis professionnel qui est souvent considéré comme le père du coaching moderne.
Son livre « The Inner Game of Tennis » a introduit l’idée que l’obstacle principal à l’amélioration des performances est souvent l’esprit du joueur, plutôt que sa technique. Cela a jeté les bases du coaching axé sur l’élimination des obstacles mentaux.
Un autre nom important est celui de Sir John Whitmore, un ancien pilote de course britannique qui a popularisé le modèle GROW (Goal, Reality, Options, Will) largement utilisé dans le coaching aujourd’hui.
Ce modèle offre un cadre structuré pour le processus de coaching, aidant le client à définir clairement ses objectifs, à comprendre sa situation actuelle, à explorer différentes options et à s’engager à prendre des mesures [6].
En ce qui concerne les grands courants du coaching, on peut citer le coaching cognitif-comportemental, le coaching humaniste et le coaching systémique, entre autres.
Le coaching cognitif-comportemental se concentre sur la façon dont les pensées et les croyances d’une personne influencent son comportement.
Le coaching humaniste met l’accent sur le développement du potentiel humain et l’accomplissement de soi.
Le coaching systémique examine comment les individus interagissent avec leur environnement et avec les autres [7].
Chacun de ces courants a sa propre spécificité et apporte une perspective unique au coaching de vie. Ensemble, ils offrent une gamme d’outils et de techniques qui peuvent être adaptés aux besoins spécifiques de chaque client.
Le coaching de vie est un domaine multidisciplinaire qui a évolué au fil du temps grâce aux contributions de nombreuses personnes et courants de pensée. Il continue d’évoluer et de s’adapter pour répondre aux défis de notre monde en constante évolution.
Sources :
[1] https://www.coaching-au-present.com/histoire-et-fondements-du-coaching/
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Coaching
[3] https://noemiefoulon.com/2017/10/25/naissance-histoire-coaching/
[4] https://www.ertheo.com/blog/fr/histoire-du-coaching/
[5] https://www.youtube.com/watch?v=fDQvsECAcKY
[6] https://hexalto.com/faq/dou-vient-le-mot-coaching/
[7] https://www.psychologue.net/articles/quest-ce-que-le-coaching-de-vie
Quelques outils du coach de vie
L’un des outils du coach de vie les plus populaires est le modèle GROW, un acronyme pour Goal (Objectif), Reality (Réalité), Options (Options), et Will (Volonté).
Cet outil offre un cadre structuré pour le processus de coaching, aidant le client à clarifier ses objectifs, à comprendre sa situation actuelle, à explorer différentes options et à s’engager à prendre des mesures concrètes pour atteindre ses objectifs.
Un autre outil couramment utilisé en coaching de vie est l’écoute active. Cela implique d’écouter attentivement ce que le client dit, de reformuler pour vérifier la compréhension, et de poser des questions ouvertes pour encourager le client à approfondir sa réflexion. L’écoute active aide le coach à comprendre les préoccupations et les aspirations du client, et permet au client de se sentir entendu et valorisé.
Les techniques de visualisation sont également souvent utilisées en coaching de vie. Elles impliquent d’imaginer vivement un résultat positif ou un état de bien-être désiré, ce qui peut aider à renforcer la motivation et à surmonter les obstacles. La visualisation peut être particulièrement efficace lorsqu’elle est combinée avec d’autres techniques, comme la relaxation ou la méditation.
Par ailleurs, de nombreux coachs de vie utilisent des outils d’évaluation pour aider les clients à mieux comprendre leurs forces, leurs faiblesses, leurs valeurs, et leurs motivations. Ces outils peuvent inclure des tests de personnalité, des questionnaires sur les valeurs, ou des exercices de journalisation.
Enfin, le feedback constructif est un outil essentiel en coaching de vie. Il permet au client de recevoir des retours honnêtes et bienveillants sur ses progrès, ses défis et ses opportunités de croissance. Un bon coach saura donner un feedback de manière à encourager le client, à renforcer sa confiance en lui et à le motiver à continuer à se développer.
En somme, les outils du coaching de vie sont variés et polyvalents, et ils peuvent être adaptés aux besoins spécifiques de chaque client. Que ce soit pour clarifier des objectifs, explorer des options, surmonter des obstacles ou célébrer des succès, ces outils peuvent jouer un rôle précieux dans le parcours de développement personnel et professionnel de chacun.
Outil numéro 1 : le coach de vie est le premier outil de coaching
Cela n’est pas très surprenant, mais le coach de vie est effectivement le premier outil de coaching.
Sa qualité d’écoute, sa qualité de présence, son humilité et son discernement. Cela semble tellement logique pour un métier de la relation d’aide.
En effet, plus un coach de vie est mature, présent et compétent, plus il sera en mesure de vous accompagner.
Il va de soi qu’un coach de vie est censé avoir fait un travail sur lui-même ainsi que de le poursuivre. Je dirais que c’est même presque le plus important.
Un coach de vie doit être bien centré avant sa séance, il doit avoir fait le calme en lui pour être disponible auprès de son client. Il pourra également aider le client à se centrer au début de la séance en lui proposant quelques exercices de relaxation, méditation, encore visualisation.
La respiration en jouant un rôle clé dans ses approches.
Cela pourrait vous sembler anodin, mais en réalité, nous avons plusieurs niveaux de fonctionnement et lorsque nous sommes centrés, nous prenons tout simplement du recul sur nous-mêmes, ce qui nous permet d’être moins victime de notre fonctionnement : réactions, pensées et émotions automatiques (traitée en Thérapie Cognitive et Comportementale).
Se centrer, c’est se donner la chance d’avoir plus de recul, d’être plus lucide et plus serein.
Si une personne fait de meilleurs choix dans sa vie, sa vie va changer de façon beaucoup plus positive. Inversement, si nous continuons à nous enfermer dans de mauvais choix, nous aggravons tout simplement notre situation. Cela fait souvent mal de se rend compte de cela, mais je crois que nous sommes peut-être le plus souvent notre plus grand bourreau.
Outil numéro 2 : le poisson-canne à pêche
Développé par Vincent Lennart.
Dans l’idéal, le coach doit aider son client à trouver ses propres solutions. C’est tout à fait la philosophie de l’approche Rogerienne pour laquelle on fait confiance au client, en ses ressources pour qu’il trouve ses solutions personnelles.
Donc, ici métaphoriquement, on l’apprend à pêcher lui-même du poisson, on l’accompagne à trouver ses propres ressources et ses propres solutions.
La posture utilisée ici est une grande capacité d’écoute, d’empathie, sans jamais se confondre dans le client et notamment de reformulation afin de restituer au client la façon dont il pense, ce qu’il aide à mieux penser, à mieux se ressentir et à mieux s’accepter.
Le coach doit aussi être conscient de lui-même et être authentique, il n’adopte pas une posture d’expert, c’est le client qui est expert de sa vie et de son problème.
À l’inverse, si le coach constate une faible d’autonomie de son client dans un certain domaine, un niveau d’urgence sur la situation qu’il vit, et en fonction de son état émotionnel, il peut proposer des solutions. Donc ici, métaphoriquement, il donne du poisson. Attention, ici, de ne pas devenir un sauveur, et ainsi de poser le client en posture de dépendance.
Outil numéro 3 : établir des objectifs
Le coaching est un accompagnement destiné à l’atteinte d’objectifs. On ne s’appesantit pas sur le passé.
Il faut donc bien définir les objectifs et ceci, avant l’approfondissement du coaching.
John Whitmore, pilote automobile britannique, précurseur du coaching et auteur de « Coaching for Performance », explique qu’il y a deux types d’objectifs :
- le but global qui représente l’aspiration du client et qui est rarement totalement sous le contrôle total de ce dernier, et
- les objectifs de performance qui détermine le niveau de résultats à atteindre et qui eux sont sous le contrôle du client.
Il faut aussi définir des indicateurs de mesures qui permettront de surveiller les progrès.
La méthode classique SMART, permet de définir des objectifs Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporel
Article co-écrit avec Chat GPT 4. Et j’ai bien vérifié ce qu’il disait :-).
D’autres outils vous seront présentés. N’hésitez pas à découvrir le coaching anti-procrastination lors d’une soirée, cliquez-ici.
A bientôt.
FAQ – Foire aux Questions
Le coaching de vie est un accompagnement personnalisé avec un coach qui vous aide à atteindre vos objectifs et à améliorer votre qualité de vie. Le coach agit comme un facilitateur pour votre développement personnel et professionnel.
Le coaching de vie trouve ses racines dans la maïeutique de Socrate, la cybernétique, l’école de Palo Alto et le livre « The Inner Game of Tennis » de Timothy Gallwey dans les années 1960-70. Le terme « coaching » vient du mot hongrois « kocsi ».
Les outils du coach de vie sont : le modèle GROW, l’écoute active, la reformulation, les techniques de visualisation, les questionnaires d’auto-évaluation, le feedback constructif. Le coach lui-même est le principal outil.
Idéalement, le coach guide le client pour qu’il trouve lui-même ses propres solutions. Mais parfois, en fonction des besoins, le coach peut aussi apporter des solutions.
Le coach utilise des méthodes comme le modèle SMART pour aider à fixer des objectifs spécifiques, mesurables, atteignables, réalistes et temporellement définis. Les objectifs doivent être sous le contrôle du client.
Le coaching de vie aide à augmenter la confiance en soi, améliorer la communication, gérer le stress, équilibrer vie pro et vie privée, réaliser ses rêves et aspirations. Il permet une transformation personnelle.