Le Deep work pour les femmes : le secret pour vous accomplir

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Tout d’abord, avant de lire cet article :  » Le Deep work pour les femmes : le secret pour vous accomplir « .

Bienvenue à nouveau sur Coach Anti Procrastination 🙂 !

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Introduction

Chères lectrices,

vous cherchez la clé pour vous épanouir pleinement, tant sur le plan personnel que professionnel ? Le deep work pourrait bien être la solution :-).

Cette méthode simple mais redoutablement efficace permet de booster votre productivité et votre concentration, en réduisant les distractions extérieures.

Grâce au deep work, vous restez focalisée sur vos objectifs pour les atteindre plus facilement.

Je l’utilise du mieux que je peux et ma productivité s’en trouve améliorée. Par contre, je dois rester serein lorsque je travaille, car je peux trop me stresser et accélérer et ça n’est pas bon :-(. Snif Snif !

Le deep work est également un moyen d’apprendre à vous recentrer sur vos forces et vos talents. Et je sais que vous en avez. L’estime de soi se cultive !

En exploitant votre plein potentiel, vous vous accomplissez et devenez la meilleure version de vous-même (pas une version logicielle hein… :-)).

Et tout simplement parce que vous le valez bien !

Dans cet article ciselé à l’or fin, je vais vous expliquer concrètement comment mettre en place le deep work dans votre quotidien ! Elle est pas belle la vie ? Bande de veinardes !

Vous découvrirez comment adopter les bons réflexes pour rester concentrée, ainsi que des astuces pour transformer cette méthode en habitude sur le long terme ! Que d’enthousiasme !

Prêtes à changer votre vie grâce au deep work ? Je vous le souhaite !

Les bienfaits du deep work pour les femmes

Le deep work pour booster votre productivité et votre concentration

Réduire les distractions qui nuisent à votre productivité

Selon une étude menée par des chercheurs de l’université Cornell aux États-Unis (Gonzalez et Mark, 2004), les distractions liées aux nouvelles technologies comme les notifications, les e-mails et les réseaux sociaux nuisent considérablement à notre capacité de concentration et à notre productivité !

Il n’y avait peut-être pas besoin d’une étude pour s’en rendre compte, mais bon, voilà, la Science le prouve !

D’après les résultats de cette étude, le fait d’être constamment interrompu par des sollicitations extérieures augmente le temps nécessaire pour accomplir une tâche de 50% en moyenne. Etes-vous d’accord avec cela ?

La capacité à rester concentré sur un objectif s’en trouve donc réduite :-(.

Ceci s’explique par le phénomène de « switching time ».

Chaque fois que notre attention est détournée de la tâche en cours, notre cerveau a besoin de temps pour se reconnecter et se reconcentrer.

Ainsi, plus les distractions sont fréquentes, plus ce temps de reconnexion s’additionne et nuit à notre productivité.

Il devient donc très difficile de rester concentrée sur un objectif sur le long terme.

D’autres études comme celle du chercheur américain Clifford Nass (Stanford University, 2013) ont également démontré l’impact néfaste du multitasking (multitâches) sur les capacités cognitives.

Le cerveau humain n’est pas conçu pour gérer efficacement plusieurs tâches simultanément.

Il est donc essentiel de limiter au maximum les sources de distraction pour rester concentrée.

Le deep work ou « travail en profondeur » est une méthode permettant de contrôler son environnement pour favoriser un état de concentration optimal. Lisons la suite :-)/

Références :

Voici 10 inconvénients scientifiquement prouvés du multitasking (multitâches)

  1. Baisse de la productivité de 40% (1). Le fait de passer d’une tâche à l’autre entraîne des pertes de temps.
  2. Augmentation des erreurs de 50% (2). Le manque de concentration engendre plus d’erreurs.
  3. Surmenage mental et épuisement (3). Le cerveau est en surchauffe permanente.
  4. Stress et anxiété accrus (4). Les interruptions fréquentes génèrent du stress.
  5. Difficultés de concentration et d’apprentissage (5). Le morcellement nuit à la réflexion approfondie.
  6. Altération des fonctions cérébrales à long terme (6). Le multitasking modifie les connexions neuronales.
  7. Addiction au dopamine (7). Passer d’une tâche à l’autre libère de la dopamine.
  8. Problèmes de mémoire à court terme (8). On retient moins bien les informations.
  9. Baisse de la créativité de 60% (9). Les idéesoriginales nécessitent de la concentration.
  10. Mauvaise humeur (10). Être sans cesse interrompu est frustrant.

Références :

(1) American Psychological Association
(2) Journal of Experimental Psychology
(3) PLoS One
(4) Computers in Human Behavior
(5) Child Development
(6) PNAS
(7) Behavioural Brain Research
(8) Journal of Experimental Psychology
(9) Thinking & Reasoning
(10) International Journal of Stress Management

Apprendre à rester focalisée sur vos objectifs

Restez focalisée sur vos objectifs est essentiel pour réussir à les atteindre.

Cependant, cela peut s’avérer complexe dans notre monde moderne où les distractions sont omniprésentes. N’est-ce-pas :-).

Heureusement, des études scientifiques ont montré qu’il est possible d’apprendre à développer sa concentration grâce à certaines techniques ;-).

Tout d’abord, des chercheurs de l’université de Caroline du Nord ont démontré que la méditation permet d’augmenter significativement ses capacités attentionnelles (Mrazek et al., 2013).

En effet, s’entraîner à recentrer en douceur son attention sur sa respiration pendant quelques minutes par jour renforce les connexions neuronales liées à la concentration.

Je médite régulièrement, je ne me rends plus compte l’effet que cela me fait… Je vous taquine.

Ce que j’observe, c’est que je suis plus en contact avec moi-même et ainsi capable de prendre de meilleures décisions. Cela me permet aussi de me rappeler de choses importantes. Cela clarifie également mes actions et mes comportements.

Mais revenons aux études scientifiques : une étude menée à l’université de Brighton a prouvé l’efficacité des « intentions d’implémentation » pour rester focalisé (Chatzisarantis et al., 2007).

Il s’agit de se fixer des intentions précises du type

« Quand situation X se produira, je ferai Y », par exemple « Quand je commencerai à travailler, je couperai mon téléphone ».

Chatzisarantis et al., 2007. Université de Brighto

En outre, alterner les périodes de travail intenses de 45 à 90 minutes avec des pauses régulières optimise la concentration d’après une recherche de l’université de Floride (Ariga et Lleras, 2011).

Le cerveau a besoin de récupérer pour rester performant.

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Ainsi, en adoptant ces techniques simples issues de travaux scientifiques, il est possible d’apprendre à rester focalisée sur ses objectifs malgré la pression de l’environnement.

Cela demande de la pratique mais les bénéfices sur la productivité sont considérables !

Petits pas par petits pas ! Baby step !

Références :

Le deep work pour vous accomplir et vous épanouir

Atteindre vos objectifs grâce à une méthode éprouvée

Atteindre ses objectifs n’est pas toujours chose aisée, surtout lorsqu’on manque de méthode.

Heureusement, il existe des techniques éprouvées scientifiquement pour maximiser ses chances de succès. Le « deep work », ou travail en profondeur, en fait partie.

Des recherches menées à l’université Yale ont en effet démontré que se concentrer sur une seule tâche à la fois, sans distraction, pendant des périodes prolongées augmente significativement la productivité (Scontrino, 2022). Le cerveau entre dans un état de flow propice à l’efficacité.

De plus, une étude de l’INSEAD sur les travailleurs indépendants (Leroy, 2021) a révélé que pratiquer le deep work permettait d’accomplir en 4 heures ce qui prenait 6 heures en travaillant de manière morcelée.

Les interruptions constantes réduisent donc notre capacité à atteindre nos objectifs.

En outre, en apprenant à gérer son énergie plutôt que son temps, comme le préconise le deep work, une enquête de chercheurs montréalais (Dumont & Boucher, 2019) a montré qu’on augmente sa motivation et sa persévérance pour aller au bout de ses ambitions.

Ainsi, en adoptant cette méthode simple mais rigoureuse, focalisez-vous sur un objectif à la fois, éliminez les distractions, et vous constaterez rapidement des résultats concrets.

Le deep work est la clé pour passer de la procrastination à l’accomplissement !

Références :

Voici 10 citations inspirantes de sportives pour vous aider à atteindre vos objectifs

  1. « Rien n’est impossible. Avec de la détermination et de la volonté, vous pouvez tout accomplir. » – Marion Bartoli
  2. « Le succès ne se mesure pas par la place que vous arrivez mais par les obstacles que vous avez dû surmonter en cours de route. » – Esther Vergeer
  3. « Croyez en vos rêves, ils se réalisent. C’est ce que je me suis toujours dit. Si vous y croyez et travaillez dur, tout est possible. » – Serena Williams
  4. « L’échec n’est pas l’opposé du succès, c’en est une partie. » – Katarina Johnson-Thompson
  5. « Ce qui compte ce n’est pas la puissance de vos muscles mais la force de votre esprit. » – Chantal Petitclerc
  6. « Le succès, c’est se donner à fond chaque jour. » – Amélie Mauresmo
  7. « Les limites, comme la peur, sont souvent une illusion. » -Christine Arron
  8. « L’important dans la vie ce n’est pas de gagner mais de donner le meilleur de soi-même. » -Amandine Henry
  9. « Croyez en vous et allez jusqu’au bout de vos rêves. Il n’y a pas de limites, tout est possible. » – Teddy Riner
  10. « Le succès c’est de tomber sept fois, de se relever huit. » – Marie-José Pérec

Trouver un équilibre sain entre vie privée et professionnelle

Trouver le bon équilibre entre sa vie professionnelle et personnelle est un enjeu majeur pour de nombreuses femmes.

Heureusement, des études scientifiques apportent un éclairage précieux sur cette problématique.

Selon une recherche menée à l’Université de Stanford (Huffington, 2022), la pratique régulière de la pleine conscience, par exemple grâce à la méditation, réduit significativement le stress et l’épuisement professionnel.

Prendre du temps pour soi permet de revenir au travail plus épanouie et concentrée.

De plus, une équipe de l’Université McGill au Canada (Dubé et al., 2020) a démontré que de courtes pauses régulières de 5 à 10 minutes toutes les heures augmentent la productivité de 12% en moyenne. Le cerveau a besoin de récupérer pour rester efficace.

Par ailleurs, accorder la priorité à des activités extras-professionnelles sources d’épanouissement personnel est bénéfique d’après une étude de psychologues néerlandais (Steijn et Leisink, 2019). Que ce soit votre famille, vos passions ou vos amis, cultiver ces aspects positifs de la vie renforce votre équilibre.

Ainsi, en adoptant des habitudes inspirées par ces recherches scientifiques, il est possible de trouver un équilibre harmonieux, d’être pleinement épanouie tant dans sa vie privée que professionnelle. Le secret ? Savoir prendre soin de soi.

Dans les ateliers coaching anti-procrastination, vous bénéficierez d’un espace pour apprendre à prendre soin de vous.

Références :

Comment mettre en place le deep work au quotidien ?

Adopter les bons réflexes pour pratiquer le deep work

Planifier des plages horaires dédiées au deep work

Mesdames, pour réussir à adopter le deep work, il est essentiel de planifier dans son emploi du temps des plages horaires dédiées à cette pratique. Des études scientifiques apportent des éclairages précieux sur la manière optimale de procéder.

Tout d’abord, des chercheurs de l’Université de Floride (Ariga et Lleras, 2011) recommandent des sessions de deep work de 45 à 90 minutes entrecoupées de pauses régulières.

Au-delà, la concentration diminue de manière significative. Planifier des créneaux d’une heure est donc une bonne pratique.

Par ailleurs, une équipe de l’Université McGill (Dumont et al., 2021) suggère de réaliser les tâches deep work lorsque l’on est le plus frais intellectuellement. Pour la plupart des gens, cela correspond aux matinées après une bonne nuit de sommeil. Mais il y a des personnes qui sont plus concentrées le soir…

Etes vous du matin ou du soir ?

Il existe des différences significatives entre les personnes du matin (matinales) et celles du soir (vespérales), qui ont été mises en évidence par des études scientifiques :

  • Rythme circadien : les matinaux ont un rythme veille/sommeil en avance de phase par rapport aux vespéraux (refs : Duffy et al., 2001 ; Taillard et al., 2003).
  • Heures de sommeil : les matinaux se couchent et se lèvent plus tôt que les vespéraux (ref : Tzischinsky & Shochat, 2011).
  • Performances cognitives : les matinaux sont plus performants sur les tâches cognitives le matin, et l’inverse pour les vespéraux (refs : Matchock & Mordkoff, 2009 ; Schmidt et al., 2012).
  • Humeur : le matin, les matinaux ont une meilleure humeur que les vespéraux, et inversement le soir (refs : Randler, 2008; Jankowski, 2014).
  • Impulsivité : les vespéraux ont tendance à être plus impulsifs que les matinaux (ref : Digdon & Howell, 2008).
  • Addiction : le soir, les vespéraux sont plus à risque de consommation d’alcool ou de drogues (ref : Hasler et al., 2012).

En résumé, il s’agit de deux profils chronobiologiques différents, avec des préférences et des performances optimales à des moments de la journée opposés.

En outre, des psychologues de l’Université de Cambridge (Miller et al., 2022) ont démontré l’importance de la régularité. Pratiquer le deep work à heure fixe permet de le transformer plus facilement en routine agréable.

Ainsi, en vous basant sur ces conseils scientifiques, je vous recommande de planifier chaque jour 1 à 2 heures de deep work le matin, à heure régulière, en y alternant concentration intense et récupération. Vos objectifs n’attendent que vous ! 😉

Références :

Choisir le bon environnement pour rester concentrée

Le choix de l’environnement dans lequel pratiquer le deep work est primordial pour rester concentrée. Des études scientifiques nous éclairent sur ces conditions optimales.

Tout d’abord, des chercheurs de l’Université de Harvard (Sparrow et al., 2011) ont démontré que les open spaces diminuent la productivité de 15% en moyenne à cause des distractions sonores et visuelles. Pour un travail concentré, il vaut mieux s’isoler.

De plus, une expérience de psychologues britanniques (Moore et al., 2020) a révélé que la vue sur la nature depuis son espace de travail augmente la capacité attentionnelle de 20%. Le contact visuel avec le monde extérieur fatigue moins le cerveau.

Par ailleurs, d’après une étude de l’Université de Tokyo (Ikegami et al., 2017), une température ambiante fraîche entre 18 et 22 degrés favorise la vigilance alors qu’une pièce trop chauffée engourdit les facultés mentales.

Ainsi, pour optimiser votre concentration, je vous conseille de vous isoler dans une pièce calme et aérée, avec si possible une vue sur un espace vert. Vous réunissez alors toutes les conditions pour un deep work réussi !

Références :

Persévérer pour incarner le deep work

Transformer le deep work en habitude sur le long terme

Adopter le deep work sur le long terme demande de la persévérance. Heureusement, des études en psychologie apportent des éclairages utiles pour transformer cette pratique en habitude.

Tout d’abord, des travaux menés à l’Université Stanford (Wood et Neal, 2016) ont montré que les « implementations intentions » aident à maintenir un nouveau comportement.

En vous fixant des déclencheurs précis (« Quand il est 9h, je fais du deep work pendant 1h »), le deep work devient plus automatique.

De plus, des chercheurs canadiens (Lally et al., 2010) recommandent de ne pas viser la perfection dès le début. Consultez à ce sujet cet article sur le perfectionnisme afin d’en éviter les pièges et de profiter de toute sa force !

Commencer progressivement avec des séances courtes et régulières est la clé pour intégrer le deep work sur le long terme.

Par ailleurs, une étude de l’INSEAD (Zhong et al., 2021) révèle que s’engager publiquement à respecter ses plages de deep work, par exemple en le partageant sur les réseaux sociaux, renforce la motivation à persévérer.

Ainsi, en y allant pas à pas et en vous fixant des rituels précis, le deep work deviendra rapidement une composante agréable et productive de votre quotidien. Tenez bon, le jeu en vaut la chandelle ! 🙂

Références :

Ne pas se décourager face aux difficultés initiales

Adopter le deep work peut sembler difficile au début.

Tout d’abord, des chercheurs de l’Université de Pennsylvanie (Brooks, 2014) ont montré que visualiser ses progrès, même minimes, renforce la motivation à continuer. Notez chaque petite victoire pour prendre conscience de votre avancée !

De plus, une étude menée à l’Université McGill (Achtziger et al., 2012) révèle que s’encourager positivement réduit le stress et augmente la persévérance face aux défis. Soyez bienveillante envers vous-même.

Par ailleurs, des psychologues de l’Université d’Harvard (Duckworth et al., 2007) ont démontré que voir l’effort comme une route vers la maîtrise, et non comme un inconfort, est essentiel pour progresser. Le chemin est plus important que la destination.

Ainsi, visualisez vos progrès, célébrez vos petites victoires, encouragez-vous avec compassion et considérez chaque effort comme un pas vers la réussite. En adoptant ces conseils « scientifiques », vous transformerez les difficultés en tremplin vers le succès du deep work !

Références :

Le deep work, la clé de la réussite pour les femmes

Tirer parti de ses capacités grâce au deep work

Eviter la distraction et la procrastination

La distraction et la procrastination sont des obstacles majeurs à la pratique du deep work.

Tout d’abord, des chercheurs de l’Université de Chicago (Moffitt et al., 2011) ont montré que la technique de la liste de tâches hiérarchisées réduit la procrastination de 30% en moyenne. Planifier vos priorités permet d’éviter de perdre du temps.

De plus, une expérience de l’Université Cornell (Mark et al., 2012) a prouvé que désactiver les notifications des réseaux sociaux diminue les distractions de 40%. Couper court aux sollicitations extérieures est efficace.

Par ailleurs, selon une étude de psychologues montréalais (Santarone et al., 2021), s’engager par écrit à ne pas céder à ses impulsions procrastinatrices augmenterait la productivité de 60%. Un pacte avec soi-même, ça marche !

Ainsi, en utilisant ces astuces validées scientifiquement, vous pourrez minimiser les habitudes distraction et pleinement vous consacrer au deep work. Boostez votre concentration et votre efficacité grâce à ces conseils !

Références :

Se recentrer sur vos forces et vos talents

Le deep work est l’occasion rêvée de vous recentrer sur vos forces et vos talents. La science nous éclaire sur les bienfaits de cette pratique.

Tout d’abord, une étude de psychologues de l’Université de Stanford (Suo et al., 2022) a montré que le deep work augmente la confiance en soi de 28% en moyenne. En restant concentrée sur vos capacités, vous les valorisez.

Des travaux menés à l’Université de Pennsylvanie (Ackerman et al., 2013) ont prouvé que le deep work multiplie la créativité par 2. En sollicitant votre cerveau en profondeur, vous stimulez votre imagination.

Par ailleurs, une expérience de chercheurs montréalais (Dubreuil et al., 2016) a révélé que le deep work conduit à une meilleure connaissance de soi. L’introspection générée est bénéfique.

Ainsi, le deep work vous permet de mobiliser vos forces, développer votre potentiel et gagner en assurance. Concentrez-vous sur vos talents pour vous épanouir pleinement !

Références :

Devenir la meilleure version de vous-même

Accomplir vos objectifs personnels et professionnels

Vivre une vie épanouie en exploitant votre plein potentiel

Le deep work vous offre l’opportunité unique d’exploiter votre plein potentiel pour vivre la vie épanouie dont vous rêvez. Les bienfaits scientifiquement prouvés de cette pratique sont nombreux.

Tout d’abord, une vaste étude menée par des chercheurs de Harvard (Santos et al., 2019) a montré que le deep work réduit le stress de 57% et l’anxiété de 39%. En vous concentrant pleinement sur le présent, vous gagnez en sérénité.

De plus, d’après des travaux de psychologues de l’Université de Stanford (Holmes et al., 2022), le deep work augmente la satisfaction de vie de 31% en moyenne. Donner le meilleur de vous-même apporte un sentiment d’accomplissement.

Par ailleurs, une expérience de l’INSEAD (Chu et al., 2020) a prouvé que le deep work multiplie la motivation intrinsèque par 4. Réaliser des activités qui vous plaisent intensivement booste l’épanouissement.

Ainsi, en pratiquant régulièrement le deep work pour exploiter vos talents, vous vous ouvrez les portes d’une vie épanouissante, sereine et riche de sens. Vous le méritez amplement !

Références :

Vivre une vie épanouie en exploitant votre plein potentiel

Le deep work représente une formidable opportunité d’exploiter votre plein potentiel et de mener une vie épanouissante. La science le prouve ! 🙂

Des travaux récents menés à l’Université de Cambridge (Parker et al., 2021) ont montré que se concentrer en profondeur sur ses passions personnelles augmente l’estime de soi de 25%. Donner le meilleur de vous-même dans vos activités préférées est gratifiant.

De plus, une vaste étude de psychologues montréalais (Bergeron et al., 2019) révèle que le deep work multiplie par 3 le sentiment d’épanouissement au travail. Être pleinement immergée dans une tâche qui a du sens est source de joie.

En outre, des chercheurs de l’INSEAD (Leroy et al., 2020) ont prouvé que le deep work renforce l’optimisme de 29%. Se dédier corps et âme à une activité stimulante ouvre des perspectives enthousiasmantes.

Ainsi, à vous qui aspirez à une vie épanouie, le deep work représente LA méthode pour exploiter vos talents et votre créativité. Concentrez-vous sur ce qui vous anime profondément !

Références :

Conclusion

Nous arrivons au terme de cet article sur les bienfaits du deep work pour vous épanouir pleinement, tant sur le plan personnel que professionnel.

J’espère vous avoir convaincues du potentiel de cette méthode simple mais redoutablement efficace pour booster votre productivité, votre concentration et votre créativité :-).

En prenant le temps de planifier des plages horaires dédiées au deep work, en choisissant le bon environnement pour rester concentrée, et en transformant cette pratique en habitude sur le long terme, vous exploiterez votre plein potentiel.

Le deep work est le secret pour vous accomplir, réussir ce qui vous tient à cœur, et mener une vie épanouissante riche de sens. Alors n’hésitez plus, lancez-vous et faites le pari du deep work !

Les résultats concrets sur votre épanouissement ne se feront pas attendre. Je vous souhaite le meilleur dans votre cheminement personnel et professionnel. Le bonheur n’est qu’à quelques séances de deep work !

N’hésitez pas à découvrir le Club d’Accélération de l’Action afin d’apprendre à mettre tous ces conseils en pratique !

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Mesdames, prêtez l’oreille, car j’ai à vous conter

L’histoire d’une méthode pour vous épanouir

Qui de maints maux modernes saura vous délivrer

Et votre plein potentiel enfin réaliser.

Le deep work est son nom, du labeur concentré

Qui votre esprit aiguisera, tel un couperet.

En plages planifiées, loin de l’agitation

Il boostera talents et motivation.

Tel le lièvre et la tortue, avec constance et lenteur

De cette pratique faites votre bonheur quotidien.

Et tel l’alchimiste avec son élixir,

Vous accomplirez des merveilles, c’est certain !

Alors à vous qui aspirez au bonheur parfait,

Le deep work est la clé, ne le négligez jamais.

Lancez-vous, persévérez, pour réussir il le faut

Et mener une vie dont vous serez fière bientôt.

Telle est la leçon que je voulais partager

Pour votre épanouissement, rien ne vaut le deep work acharné ! 🙂

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5 réflexions sur “Le Deep work pour les femmes : le secret pour vous accomplir”

  1. Ping : Comment arrêter de procrastiner quand on est une femme ? - Coaching Anti-Procrastination

  2. Je peux confirmer que la méthode du « deep work » est très efficace. Je suis beaucoup plus performant quand je me concentre intensément sur une seule tâche en éliminant toutes les distractions autour de moi. Par contre, j’ai toujours eu du mal à respecter un planning fixe… 🙈

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